La communication
Aujourd'hui, je vous fais une grosse confidence. Avant mai 2017, je ne connaissais que Facebook, et encore, mon compte était plutôt poussiéreux. Pour les autres réseaux, c'était le flou complet. Je ne savais pas qui faisait quoi, et comment.
8 mois plus tard... je sais utiliser Twitter (bon au fond, ce n'était pas très compliqué^^). Et après ?
Il faut communiquer bien sûr !
Bon, je me lance, et dans ma démarche, je publie ou je relaie principalement des informations utiles (nouveautés, articles et partages intéressants, évènements liés à mon activité, à celle du Club des Indés, de mes partenaires, etc.). Je commente aussi les publications qui me font réagir.
Au fur et à mesure de mes interactions virtuelles, je constate à quel point les contenus liés à la vie privée émulent.
Une petite voix me dit alors : "quoi, tu rigoles, bien entendu ! Ce sont des réseaux SOCIAUX donc c'est la vie et l'avis qui compte ! Il était temps que tu sortes de ta caverne !"
La honte...
D'accord, j'intègre l'évidence, mais maintenant que je suis en plein dedans dans une démarche professionnelle, j'estime que ce n'est pas mon créneau. Pourtant, mes pairs le font. Hum...
8 mois plus tard... je sais utiliser Twitter (bon au fond, ce n'était pas très compliqué^^). Et après ?
Il faut communiquer bien sûr !
Bon, je me lance, et dans ma démarche, je publie ou je relaie principalement des informations utiles (nouveautés, articles et partages intéressants, évènements liés à mon activité, à celle du Club des Indés, de mes partenaires, etc.). Je commente aussi les publications qui me font réagir.
Au fur et à mesure de mes interactions virtuelles, je constate à quel point les contenus liés à la vie privée émulent.
Une petite voix me dit alors : "quoi, tu rigoles, bien entendu ! Ce sont des réseaux SOCIAUX donc c'est la vie et l'avis qui compte ! Il était temps que tu sortes de ta caverne !"
La honte...
D'accord, j'intègre l'évidence, mais maintenant que je suis en plein dedans dans une démarche professionnelle, j'estime que ce n'est pas mon créneau. Pourtant, mes pairs le font. Hum...
Faut-il partager sa vie personnelle pour intéresser le lecteur ?
Qui dit partage, dit proximité. Même si j'ai déjà ma petite idée, une question me trotte alors dans la tête : la proximité donne-t-elle envie au lecteurs de découvrir les œuvres d'un(e) auteur(e)?
Pour en avoir le cœur net, rien de mieux que de vous poser la question directement. Vous m'avez répondu :
Total de 111 votes Twitter et Facebook confondus (1 seul choix par votant) |
Pour accéder aux sondages, cliquer sur les images suivantes : 1. Twitter , 2. Facebook.
La tendance
- Presque la majorité d'entre vous déclare lire souvent les œuvres d'un(e) auteur(e) dont ils se sentent proches (47%)
- 33% ne le fait pas nécessairement.
Les deux catégories souvent et pas nécessairement sont plutôt au coude à coude, mais la tendance est nette.
Ma conclusion
En autoédition, la proximité lecteur-auteur joue un rôle non négligeable (à ne pas ignorer) dans les choix de lecture, de part son aspect humain. Or le partage de certains éléments de la vie privée, donnant une image plus humaine et donc plus accessible de l'auteur(e), rend sans aucun doute le contact ou la prise de contact plus facile. C'est même là, l'atout majeur de cette voie éditoriale.
Ainsi, un lien direct et privilégié peut s'établir entre le lecteur et l'auteur(e). Ces interactions visiblement très appréciées (et plaisantes, je l'avoue ^^), donnent souvent au lecteur, selon ses goûts malgré tout, l'envie de découvrir les réalisations de cet(te) auteur(e).
En parallèle, il me semble naturel qu'un(e) auteur(e) ait envie de parler d'autre chose que de son travail (même s'il s'agit d'une passion). Ainsi partager des bouts de son quotidien hors écriture permet d'assouvir le besoin d'expression de l'humain derrière la plume !
NB : cette conclusion est purement une interprétation de ma part, au regard des résultats du sondage, des commentaires associés et de mon expérience. Donc si vous avez votre propre avis sur la question, n'hésitez pas à m'en faire part en commentaire. Sinon, vous pouvez cocher une réaction, ainsi je saurai si cet article vous a plu :)
En autoédition, la proximité lecteur-auteur joue un rôle non négligeable (à ne pas ignorer) dans les choix de lecture, de part son aspect humain. Or le partage de certains éléments de la vie privée, donnant une image plus humaine et donc plus accessible de l'auteur(e), rend sans aucun doute le contact ou la prise de contact plus facile. C'est même là, l'atout majeur de cette voie éditoriale.
Ainsi, un lien direct et privilégié peut s'établir entre le lecteur et l'auteur(e). Ces interactions visiblement très appréciées (et plaisantes, je l'avoue ^^), donnent souvent au lecteur, selon ses goûts malgré tout, l'envie de découvrir les réalisations de cet(te) auteur(e).
En parallèle, il me semble naturel qu'un(e) auteur(e) ait envie de parler d'autre chose que de son travail (même s'il s'agit d'une passion). Ainsi partager des bouts de son quotidien hors écriture permet d'assouvir le besoin d'expression de l'humain derrière la plume !
NB : cette conclusion est purement une interprétation de ma part, au regard des résultats du sondage, des commentaires associés et de mon expérience. Donc si vous avez votre propre avis sur la question, n'hésitez pas à m'en faire part en commentaire. Sinon, vous pouvez cocher une réaction, ainsi je saurai si cet article vous a plu :)
Trop bien ton article, très vrai... La personnalité de l'auteur, sa manière de penser et donc d'écrire ou de commenter montre une vision, une manière d’appréhender les choses. Moi je suis plutôt cash et je sais que cela ne plaît pas toujours... J'aime la politique, le sport et les actualités donc je donne ma vision... Merci pour ce temps de réflexion!
RépondreSupprimerAvec plaisir, et merci pour ton avis Fat :) Rassure-toi, rien ne plaît toujours à tout le monde. Chaque profil d'auteur(e) à sa "ligne éditoriale" pour former une richesse générale. C'est aussi très libérateur quand on regarde bien. L'essentiel est de trouver une communauté avec laquelle on noue des liens sains et épanouissants, n'est-ce pas ? ;) A bientôt !
SupprimerMoi aussi, j'ai du mal à lâcher des informations personnelles sur les réseaux sociaux et je me rabats pudiquement derrière du contenu "utile" article qui m'a touché, micronouvelle, nouveautés qui m'intéressent... Et pourtant, les rares fois où j'ai évoqué ma vie, souvent des tuiles embêtantes mais pas graves du genre crash informatique, les amis facebook ou les followers twitter ont plus réagi. C'est contre-intuitif pour moi, mais manifestement, cette proximité intéresse plus les gens qu'un article...
RépondreSupprimerTout d'abord, merci pour ton partage Selma. Toi aussi, tu as compris par l'expérience la fonction populaire des réseaux "sociaux" ;) On apprécie de savoir des choses de la vie : les joies, les peines, les déconvenues. On vient aussi pour discuter, papoter, blaguer. Comme une café virtuel avec des connus, des moins connus et des inconnus. Heureusement, chacun est libre d'y poster ce qu'il veut. Donc tant pis si l'utile semble plus intéressant à partager, c'est aussi du social !
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